Blagues d'écoliers 3/3
La maîtresse demande de construire une phrase avec l'adjectif épithète. Nicolas lève le doigt et dit :
- Aujourd'hui il pleut, épithète demain, il fera beau !
La maîtresse dit à Julien :
- Une grande rue s'appelle une artère.
- Ouais, et la traverser sans se faire écraser, c'est une veine !
La maîtresse explique :
- Il ne faut pas avoir peur des souris.
- Non madame, répond Sophie, ce sont de gentils animaux, comme vous et moi.
La maman de Charlotte demande :
- Monsieur l'instituteur, pourquoi ma fille a-t-elle toujours des zéros ?
- Mais madame, c'est parce qu'il n'existe pas de note plus basse !
L'instituteur s'étonne :
- Voyons Julien, ta rédaction sur le chien ressemble mot pour mot à celle de ton frère.
-Bien sûr, m'sieur, nous avons le même chien !
À l'école, Sophie est sage comme une image. À l'heure de la sortie, elle va trouver sa maîtresse :
- Siouplait, dites-moi ce que j'ai appris aujourd'hui, parce que mon papa il me le demande tous les soirs.
Julien rentre de l'école. Il a le genou écorché.
- Pauvre chou, tu as dû beaucoup pleurer, compâtit sa maman.
- C'était pas la peine, y'avait personne.
La maîtresse demande à Julien :
- Pourquoi Charlemagne a-t-il inventé l'école ?
- Parce qu'il ne risquait plus rien. Il était trop vieux pour y aller.
La maîtresse explique :
- Louis XVI a été guillotiné pendant la Révolution. Charlotte, dites-moi qu'elles en ont été les conséquences ?
- Ben, il est mort.
L'institutrice regarde la dictée de Nicolas :
- Voyons, je t'ai dit mille fois qu'il y a un "p" à "apercevoir".
- Oui madame, mais je ne sais jamais lequel des deux enlever.
Maman demande à Julien :
- Pourquoi as-tu de si mauvaises notes ?
- Parce que ce n'est pas moi qui les mets !
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