Blagues sur la politique 10/12
- Il n'y a pas de miracles, dit un homme politique de droite à l'un de ses collègues de gauche : pour vous comme pour nous, deux plus deux feront toujours quatre.
- Oui, mais la différence, c'est que nous, nous trouvons que cela ne fait pas assez.
Un jeune homme, avec en poche son diplôme de l'Ecole nationale d'administration, vient d'entrer dans un ministère.
- Vous allez, lui dit son chef de service, être chargé de rédiger les circulaires d'application des décrets. Retenez bien ce grand principe : si une chose vous semble claire, rendez-la confuse. Si elle vous semble confuse, rendez-la obscure. Si elle vous semble obscure, rendez-la indéchiffrable. Et, quand vous en serez là, vous pourrez prétendre à un bel avancement.
Un reporter interroge un candidat, blackboulé aux dernières élections municipales :
- A votre avis, votre échec peut-il être attribué à l'incapacité que vous avez toujours eue d'exprimer clairement votre pensée ?
- Heu... fait le malheureux candidat... heu... eh bien... oui et non.
Un député reproche à un de ses collègues d'un parti opposé :
- Depuis trois ans que vous siégez parmi nous, je ne vous ai jamais vu ouvrir la bouche.
- Pardon ! je l'ai ouverte au moins une fois lors de chacune de vos interventions. Pour bâiller.
Dans une prison chinoise, deux détenus font connaissance :
- A combien es-tu condamné ? questionne le premier.
- Dix-huit mois de prison.
- Et pour quel motif ?
- Aucun motif. Je n'avais rien fait du tout.
- Là, tu me racontes des histoires. Ici, quand on n'a rien fait, le minimum qu'on puisse écoper, c'est trois ans.
Le jour des élections, une électrice se présente au bureau de vote et demande au président :
- Il ne serait pas possible de reporter ces élections d'une semaine ? Je viens de lire mon horoscope et il me recommande de ne prendre aucune décision importante aujourd'hui.
Un homme politique, persuadé d'avoir un destin national, confie à un journaliste :
- Quand je serai mort, alors on découvrira l'homme que j'étais vraiment.
- Rassurez-vous, lui répond son interlocuteur. A ce moment-là, vous ne risquerez plus rien.
Un apprenti dictateur expose ainsi son programme à ses proches collaborateurs :
- Dans un premier temps, il nous faudra mettre en prison tous nos adversaires. Et, dans un second temps, tenir soigneusement à l'oeil tous nos partisans.
Le président de la République se promène près d'un torrent de montagne quand, à la suite d'un faux pas, il tombe à l'eau.
Trois enfants qui campaient à proximité se jettent dans les flots tumultueux et le ramènent, indemne, sur la berge.
- Vous venez de sauver le président de ce pays leur dit-il. Demandez-moi ce que vous voulez comme récompense : vous l'aurez.
Le premier souhaite avoir une console Nintendo. Accordé ! Le deuxième voudrait avoir un téléphone portable. Accordé !
- Moi, dit le troisième, je voudrais que vous me fassiez adapter un récepteur de radio en stéréo sur mon fauteuil roulant.
- Mais, s'étonne le président, tu n'es pas handicapé.
- Pas pour l'instant, mais je vais sûrement le devenir quand je raconterai à mon père qui j'ai empêché de se noyer.
Le Président de la République a rencontré une charmante jeune femme avec laquelle il veut faire l'amour.
- Combien prenez-vous ? lui demande-t-il.
- Monsieur le Président, répond-elle, si vous êtes capable de relever ma jupe aussi haut que le niveau des impôts, de baisser ma culotte aussi bas que le niveau de l'emploi, d'être aussi dur avec moi que vous êtes tendre avec les criminels et de me baiser aussi bien que vous l'avez fait à vos électeurs, là, je vous le promets : pour vous, ce sera gratuit.
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